LA CGT SAINT GOBAIN BATIMENT C EST :

Bienvenue dans le blog des syndicats d'entreprise CGT SAINT-GOBAIN DISTRIBUTION qui regroupe les enseignes suivantes :

POINT P, distribution négoces généralistes et services aux entreprises de Travaux Publics
LAPEYRE, réseau de distribution destiné aux particuliers et aux professionnels
DSC CEDEO, enseigne spécialisée en sanitaire, chauffage et climatisation
Envie de salle de bain, enseigne grand public spécialiste de la salle de bains
CDL Elec, enseigne spécialisée en matériel électrique, chauffage, éclairage, domotique
ASTURIENNE, enseigne spécialisée dans la distribution de produits de couverture
PUM PLASTIQUE, distribution de produits et solutions plastiques
SFIC, enseigne spécialisée dans l’aménagement intérieur
La Plate Forme du Bâtiment, enseigne exclusivement aux professionnels, toutes spécialités
DISPANO, distribution de bois, panneaux, menuiseries
DECOCERAM, enseigne spécialisée dans le carrelage

Le temps de la mobilisation et des propositions d'amélioration de nos conditions de travail et de rémunération est venue
Ce n'est que tous ensemble que nous y arriverons !
La C.G.T est le syndicat qui défendra vos intérêts et vos revendications sans craindre la direction.
Les seules batailles perdues d'avance sont celles que l'on ne mènent pas !

Le syndicalisme fait partie du patrimoine vivant de l’humanité et de la démocratie. Fait social devenu universel, il a d’abord émergé en Europe avec la révolution industrielle, et y est resté depuis profondément enraciné.

L’histoire plus que séculaire de la CGT s’inscrit dans cet ensemble. Née de la volonté des salariés de s’organiser collectivement et durablement pour défendre leurs intérêts face à l’oppression et à l’exploitation, pour conquérir des droits et les faire valoir, pour imaginer un monde plus juste et proposer des voies pour y parvenir, sont le coeur de son action syndicale.

Bâtie selon deux dimensions professionnelles et géographiques, la CGT s’est forgée et constituée au fil de l’histoire autour d’une conception de solidarité entre les salariés qui combine l’ancrage à l’entreprise et à son environnement territorial.

« Une étrange folie possède les classes ouvrières des nations où règne la civilisation capitaliste. Cette folie traîne à sa suite des misères individuelles et sociales qui, depuis deux siècles, torturent la triste humanité. Cette folie est l'amour du travail, la passion moribonde du travail, poussée jusqu'à l'épuisement des forces vitales de l'individu et de sa progéniture... »
(Paul Lafargue)

jeudi 31 janvier 2013

LES RESULTATS NAO 2013 dispano-dmbp


dispano-dmbp pour les nao 2013 
FO  sont les seuls à signer. littéralement couché devant la direction, le DSC FO  qui était plus que vindicatif
depuis plus de 2 ans, a été pris d'une somnolence subite à ces NAO (3 lignes de revendications pour sa part) et sans véritable dialogue avec le DRH a signé de
suite.
La CGT n a pas signé ainsi que la CFDT et la CFE-CGC 

je reviens sur nos résultat de NAO

Pas d'augmentation générale
une enveloppe de + 1.6 % de la masse salariale ( tout compris avec les primes d'ancienneté,les promotions,la parité hommes-femmes)
uniquement 85 % des salariés seront augmentés , les 15 % restant verront leurs chefs pour savoir le pourquoi du comment etc etc etc du zéro.
avec un talon minimum de 25 euros
le salaire minimum chez dispano sera de 1450 E
2 jours pour enfant malade
Nettoyage des vêtements de travail pour le personnel des ateliers bois uniquement

Frédéric SZKIL


 DSC DMBP DISPANO

TEL nouveau numero 06 77 68 44 87




mardi 29 janvier 2013

l’accord est une régression


Licenciement économique :

 L’accord national interprofessionnel

L’accord national interprofessionnel qui est sur le point d’être signé, constitue un bouleversement en ce qui concerne notamment les procédures de licenciement collectif pour cause économique.

Moins de temps pour connaître la cause des licenciements
Actuellement, grâce à l’action des comités d’entreprise, des syndicats et de leurs avocats, lorsqu’une entreprise initie une procédure de licenciement pour motif économique, même si ce dernier est inexistant, les comités d’entreprise peuvent prendre le temps nécessaire à l’examen du projet et obtenir les éléments de réponse utiles.
Ces procédures, sans délais stricts, permettent aux élus d’émettre un avis éclairé et éventuellement d’avoir recours au juge si un certain nombre d’informations leur sont refusées, notamment dans des situations où la cause économique n’est pas réelle et où les licenciements ont une pure motivation financière.

Demain, si l’accord est transcrit dans la loi, les procédures de consultation seront encadrées dans de stricts délais, qui varient entre deux et quatre mois, selon le nombre de salariés dont le licenciement est envisagé.

A l’issue de ce délai, le document de consultation et de plan social est transmis à la Direccte – l’inspection du travail – qui dispose d’un délai de trois semaines pour l’homologuer et à défaut de réponse dans ce délai, le plan est réputé homologué.

Si l’employeur ne recourt pas à la procédure de consultation et d’homologation, il peut conclure un accord collectif majoritaire avec les syndicats ayant recueilli au moins 50% des voix au premier tour des élections.

Dans ce cas, l’intervention de l’administration n’est même pas prévue.
Le tribunal administratif avant les prud’hommes

Actuellement, les salariés peuvent saisir le juge judiciaire (conseil de prud’hommes et cour d’appel) pour être indemnisés.

Demain, c’est l’inspection du travail qui interviendra. Ce qui bouleverse les règles de procédure et de compétence : on change de tribunal.

En présence d’une décision administrative, c’est le tribunal administratif qui devra d’abord être saisi avant toute action devant le conseil de prud’hommes.

Ce n’est que si la décision administrative est annulée que le salarié pourra faire valoir ses droits.

Les délais pour saisir le juge sont, enfin, particulièrement raccourcis : trois mois pour contester la validité de l’accord collectif ou de l’homologation par l’administration, douze mois pour saisir le conseil de prud’hommes (au lieu de cinq ans actuellement).

Au bout du compte, ce sont les entreprises qui sont sécurisées aussi bien en terme de délais que de risque judiciaire.
Risque judiciaire réduit pour les entreprises

D’ailleurs, ce risque judiciaire est « barémisé » puisque l’accord prévoit la possibilité du règlement d’une indemnité forfaitaire .

Cette indemnité forfaitaire est de quatre mois de salaire entre deux et huit ans d’ancienneté, alors que, par ailleurs, le code du travail prévoit six mois minimum.

De même, si l’affaire est jugée par le conseil de prud’hommes, le bureau de jugement doit former sa conviction au vu des éléments fournis par les parties alors que le texte actuel prévoyait que le doute profitait aux salariés.

Les entreprises pourront en amont, déterminer avec précision la durée et le coût des licenciements par le biais de l’indemnité transactionnelle forfaitaire.

 Une entreprise qui supprime des postes mais « reclasse » les salariés en signant un accord majoritaire » sera dispensée de « plan social » 

  
Là, on est dans un autre univers. Ca franchit des années lumière de remise en cause du droit du travail. 
Car il s’agit de « mise en œuvre de mesures collectives d’organisation … se traduisant pas des changements de postes ou de lieux de travail au sein de la même entreprise » ! (ANI art. 15). Cela peut donc affecter des services entiers d’une entreprise sans plan social. 
Il est précisé qu’en cas de refus d’un poste, le salarié pourra être licencié « pour motif personnel » pas pour « motif économique » ! 
Les entreprises auront ainsi la possibilité de restructurer sans plan social en imposant aux salariés la « mobilité ». 
Les limites « à la mobilité géographique » ne sont pas définies.  Elles sont reportées à  une autre négociation ! D’une société d’un groupe à l’autre ? « Au delà de la zone géographique de son emploi » ? On ne mesure pas encore l’ampleur de cet autre énorme recul. 
Mais une quantité exceptionnelle de situations de menace de « mobilité » forcée, de changement de contrat de travail, vont s’engouffrer là dedans. 
 Les plans sociaux pourront donc faire l’objet de procédures dérogatoires s’il y a accord majoritaire… avec les syndicats de l’entreprise 

Vous lisez bien : le droit du licenciement collectif recule. 
Il sera possible de déroger soit par accord avec des syndicats… bienveillants : 
-   sur le nombre et le calendrier des réunions avec les IRP 
-   la liste des documents à produire 
-   les conditions et les délais de recours à l’expert 
-   l’ordre des licenciements, 
-   le contenu du plan de sauvegarde 
C’est à dire quasiment sur tout (énumération : article 20 -1 de l’ ANI). 
On ne contrôle pas les licenciements boursiers, on les permet, s’il y a accord… syndical ! 
Ca fait logiquement suite aux « accords de compétitivité » précédents. 
La loi prévoyait que, dans l’ordre des critères de licenciement, l’ancienneté et la situation sociale arrivaient, de façon protectrice, en premier. Dorénavant selon l’ANI « la compétence professionnelle » sera privilégiée. 
Vous lisez bien : le critère social est relégué. 

vendredi 25 janvier 2013

Les salariés de Dispano groupe St Gobain de l’agence Lonsoise débrayent

Mouvement de grève à l'agence Dispano Groupe Saint Gobain !
Les salariés de Dispano de l’agence Lonsoise débrayent et tirent la sonnette d’alarme.

Le mouvement de grève s’articule sur 3 axes :
1- le non respect des échelles de sanction avec la mise à pied d’un collège magasinier pour des raisons illégitimes.
2- Ils récusent la façon de la direction qui impose des restrictions forcées, les pressions envers le commercial
3- Le démantèlement des fonctions d’un chef d’atelier opérateur bois et panneaux à qui l’on a enlevé l’essence même de sa fonction.

Les grévistes, 12 sur 15 entourés de Georges Lopez assisté par Pierre Prat et Jean Michel Cazalet secrétaire général de l’Union Locale de Pau et d’un représentant syndical de Point-P, n’acceptent plus ces méthodes de sanctions immédiates et le fait de pousser les gens dehors avec les fameuses ruptures conventionnelles. 
Pas moins de 47 ruptures conventionnelles conclues dans l’année 2012 dans toutes les agences de Dispano Saint Gobain, et un grand nombre ne sont pas à l’initiative des salariés telles que prévues par la loi . 
Les salariés constatent une dégradation totale du dialogue, et pourtant le groupe St Gobain prône à longueur d’année, le dialogue social dans les diverses réunions. La situation que fait perdurer la direction, ne fait qu’aggraver les conditions de travail, le mal être des salariés et mettre en péril le service à la clientèle et les emplois.
Tous les grévistes sont prêts à reconduire le mouvement tant que le dialogue ne sera pas rétabli.

mercredi 23 janvier 2013

Accord NAO signé le 16 janvier 2013 par l'ensemble des syndicats POINT P NORD


Aprés enquête auprés de nombreux salariés, et apprés de longues négociations, la CGT a décidé de signer, plutôt que de laisser la direction imposer une décision unilatérale, bien moins bénéfique aux salariés dans cette période difficile.
Cette année la CGT a insisté sur le fait de ne pas tenir compte de l'aumentation de la prime d'ancienneté dans les NAO, un salarié pourra donc passer de tranche de prime d'ancienneté et bénéficier néanmoins d'une augmentation salariale dans la même année.
Un minimum de 85 % des salariés devront être concernés par cette augmentation, les autres devront obligatoirement être recus par leur chef pour explications précises. Un récapitulatif précis des personnes non augmentées et des entretiens sera remis aux IRP qui en feront la demande, en cas de contestation du salarié non augmenté celui ci pourra faire appel à son délégué pour action individuelle auprés de la DRH.
Cette année la CGT était le seul syndicat à de nouveau réclamer en NAO, la prise en charge du nettoyage des vêtements de travail . Mais la direction POINT P NORD, s'est vu imposé par le groupe POINT P france le respect de la régle déja en vigueur dans le groupe, sur le nettoyage des vêtements, La direction versera donc à compté du 1 janvier 2013, une prime de 8 € net sur 12 mois au personnel de cour et chauffeurs. La CGT a encore dénoncé lors de notre dernier CE du vendredi 18 janvier 2013, un tract CFTC totalement mensongé, dans lequel ce syndicat CFTC se vante d'être à l'origine d'une négociation en comité de groupe ST GOBAIN pour l'octroi de cette prime, ce qui bien entendu est totalement faux.
Nous avons également les tickets restaurants de 5.60 € sur 21 jours, que tous les salariés ne réclames pas forcément ! Ainsi que les médailles du travail qui déclanchent des primes trés intéressantes, mais réclamé par trop peu de salariés !! Renseignez vous auprés de vos élus CGT !
Nous vous rappelons que chaque salarié POINT P NORD qui effectue une mission dans une autre agence doit partir avec un ordre de mission et bénéficie d'une indemnité de 0.52€ du kilométre.
Cette année 2013 s'annonce bien difficile, plus que jamais il est nécessaire de se serrer les coudes pour sauvegarder votre emploi. Seule, la CGT ne peut pas grand chose pour vous, mais seul, le salarié ne pourra pas grand chose contre la direction. Pour cela rejoignez nous, échangez avec vos collégues et demandez leurs de nous transmettre leurs adresses mails perso afin d'être informé, et mieux se défendre.

Marc VAN DER JEUGHT
Votre délégué syndical CGT POINT P NORD

vendredi 18 janvier 2013

les revendications cgt pour dispano-dmbp pour les nao 2013


Pour la CGT, l’augmentation salariale ne doit en aucun être discriminatoire envers aucune catégories, et surtout pas, par son mode d’attribution.
Créer des emplois, mettre fin à la précarité, augmenter les salaires, améliorer les conditions et l'organisation du travail… répondrait, d'une part, aux attentes et aux besoins des salariés et permettrait, d'autre part, de faire rentrer des milliards de cotisations supplémentaires dans les caisses de la protection sociale, et notamment des retraites.

1 Politique salariale

- Salaire de base minimum de 1700 euros  brut

- Augmentation générale des salaires de 5 %

- 13 ème mois

- Chèque déjeuner

- Progression de la prime d’ancienneté au delà des 15 ans

- Prime de vacances à 25 % du salaire brut

- Harmonisation et généralisation des différentes primes (chauffeurs, vendeurs, atc, tca, cadres, chefs d’agence, chefs de site, cellule marchés)

- Augmentation des indemnités kilométriques de 20 %

- Augmentation de la prise en charge de l’entreprise sur la complémentaire santé

- Augmentation de la prime panier chauffeur

- Revalorisations : prime transport 50 euros

- 32 heures hebdo pour les plus de 50 ans comme reconnaissance et réparation de la  pénibilité ainsi que des congés supplémentaires.

- Prise en charge de la journée solidarité par l’entreprise

- Revalorisation des coefficients

- Réévaluation des dotations budgétaires annuelles des CE pour les œuvres sociales et du fonctionnement

- Respect des dispositions quant aux critères d'augmentation annuelle des salariés détenteurs d'un mandat syndical, désignatif ou électif

- Instauration d'une prime d'assiduité

2 Egalité homme/femme

Suppression des écarts de salaires

Plus d’embauches de femmes

Accès des femmes à tous les métiers

Promotion des femmes sans discrimination de disponibilité

Maternité : réductions d’horaire avec le même salaire

Jours enfants malades : en cas de maladies, absences rémunérées

3 Formation
L’égalité d’accès à la formation continue qualifiante pour tout le personnel.

4 Lutte contre la discrimination contre le handicap

Recrutement de personnes reconnus travailleurs handicapés.
Sensibilisation de la direction sur le handicap et la situation des travailleurs handicapés

5 Mise en œuvre d'un accord de droit syndical



La délégation CGT Dispano

de pire en pire ! synthèse de la 1 ère réunion pour dispano-dmbp pour les nao 2013




NAO 2013 - DISPANO/ cgt -
Négociation annuelle obligatoire- NAO : Obligation pour l'employeur d'engager chaque année une négociation sur les salaires effectifs, la durée effective et l'organisation du temps de travail, l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, la prévoyance maladie, la formation, l'emploi des salariés âgés.


Synthèse de la première réunion du 08 janvier

La direction nous propose : accrochez-vous la liste est très longue……..

2013 : conjoncture désastreuse ! on nous met en conditions ….. on met les formes !


1) AUGMENTATION DE 1.4 % DE LA MASSE SALARIALE TOTALE - TTC c'est à dire avec les primes d'ancienneté, la parité hommes-femmes et les promotions. (va pas rester lourd des 1.4%)
Pour rappel l'inflation à fin novembre est de 1.4 %
80 % des salariés toucheront une augmentation (20 % de mauvais salariés ?)
Avec le fameux talon à 30 euros.
1 JOURNEE pour enfant malade rémunérée (pour l'ALSACE pas de compensation)
Nettoyage vêtements de travail pour la partie atelier -découpe (la loi les y oblige !)
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PLUS RIEN D'AUTRE DANS LA MUSETTE DE LA DIRECTION !

Qu'en pensez-vous ?
Vos élus CGT   Frederic SZKIL DSC DMBP

mardi 15 janvier 2013

Elections TPE : la CGT devance largement


Elections TPE : la CGT devance largement la CFDT et FO
Le ministère du Travail a proclamé les résultats de la mesure de l'audience syndicales dans les entreprises de moins de 11 salariés. La CGT arrive en tête avec 29,5 % des voix, devant la CFDT (19,3 %) et FO (15,3 %). La participation est restée très faible, à 10,4 %.
Le ministère du Travail a dévoilé ce vendredi soir les résultats des élections syndicales dans les TPE, qui se sont déroulées du 28 novembre au 18 décembre. La CGT arrive largement en tête avec 29,5 % des suffrages exprimés, devant la CFDT (19,3 %) et FO (15,3 %). L'Unsa arrive en quatrième position avec 7,35 %, un résultat encourageant pour la « petite centrale qui monte ». Le miracle espéré par la CFTC, qui avait fait une grosse campagne de proximité, n'est en revanche pas arrivé et la centrale chrétienne doit se contenter de 6,5 % des voix. La CGC n'a récolté que 2,3 % de l'ensemble des voix, mais obtient 26,9 % dans le collège cadre, le seul ou elle se présentait en vertu de son statut de syndicat catégoriel. Elle y arrive en tête, 6 points devant la CFDT.

lundi 14 janvier 2013

Brossette :Le dialogue de sourds



NAO 2013 :  Brossette :Le dialogue de sourds 


A l issue de la 2eme reunion du 17 decembre 2012



Les Syndicats et la direction ont clos la reunion sur un échec avec pour échapatoire une nouvelle proposition des Syndicats incluant une prime de 200 Euros couvrant la periode du 01 janvier 2013 au 30 juin 2013 ET a compter du 01 Juillet 2013 une augmentation génerale des salaires de 1%


le 11 Janvier 2013 , les syndicats et la direction se retrouvent pour la 3eme Reunion

Réponse de la direction Brossette a nos Propositions :

AUCUNE Augmentation Genérale des Salaires
PAS de prime cette année

Enveloppe de 0.8 % attribuer par les managers a titre individuel

Projet de dénonciation de l usage du versement de la prime de fin d année pour permettre
l integration dans le salaire de base ( fin du 13 eme mois)

REFUS CATEGORIQUE DE TOUS LES SYNDICATS ( CGT /CFDT /CGC CFE)

Notre avant dérniere contre proposition

1,6 % d Augmentation Genérale ET REFUS de la direction


La proposition de la CGT concernant une prime de nettoyage ( vétements ) de
120 Euros/ ans a ete retenue a hauteur de 70 Euros /ans


La CGT Brossette ne pouvant tolérer des augmentations au cas par cas a formulé
une derniere Proposition

Géneralisation des TICKETS RESTAURANT a l ensemble des salaries ( revendication commune CGT / CFDT )


Une prochaine reunion est prévue courant Janvier 2013

jeudi 10 janvier 2013

Smic 2012


Smic 2012

Le salaire correspond à la contrepartie du travail fourni par le salarié Il est en principe librement fixé par les parties sous réserve de respecter certaines dispositions légales ou conventionnelles.

Le salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) est le salaire horaire en dessous duquel l'employeur ne peut rémunérer ses salariés, cette disposition étant d’ordre public.

Le SMIC assure aux personnes ayant un faible revenu d’activité la garantie de leur pouvoir d’achat et une participation au développement économique.

Ce salaire minimum s’applique en France Métropolitaine, mais également à Saint-Pierre-et-Miquelon et dans les départements d’Outre-mer.

Ce salaire légal de référence est indexé sur :
- l’indice mensuel à la consommation des ménages : lorsque cette référence augmente de 2%, le SMIC est relevé de ce même taux
- l’évolution des conditions économiques générales et des revenus
SMIC applicable au 1er juillet 2012
SMIC horaire brut
9.40 euros
SMIC mensuel brut (base 35 heures)
1 425.67 euros (base de 35 heures)
SMIC mensuel brut (base 39 heures)
1604,89 euros (avec majoration de 10 % pour les HS*)

1629,33 euros (avec majoration de 25 % pour les HS*)
SMIC mensuel net (valeur indicative)
1 118.36 euros (base de 35 heures)
Minimum Garanti (MG)
3.49 euro
*HS : Heures supplémentaires

Source : Décret n° 2012-828 du 28 juin 2012 portant relèvement du salaire minimum de croissance

mardi 8 janvier 2013

sans vous, de réelles avancées ne sont pas possibles ou trop lentes



SYNDICAT CGT de POINT P MBM 


19 place St Sernin 31070 TOULOUSE Cedex 7

Courriel : d.emma31@orange.fr

Télécopie : 05 61 23 59 78


Se bouger avec audace, énergie, volonté,
et solidarité pour un avenir collectif meilleur !

Nouveautés 2013 : Le site du syndicat CGT de Point P MBM :


Vous y trouverez des infos utiles et des renseignements sur vos droits de salariés de l’entreprise Point P et du groupe Saint-Gobain.
Ce site est un espace d’échanges et de liberté respectueux des personnes.

Négociations salariales pour 2013.

Les chèques-déjeuner : Cette revendication est exprimée à chaque négociation annuelle depuis de nombreuses années. Ils existent chez Point P Ile de France, Point P Nord et des négociations sont en cours chez Point P Rhône-Alpes, Est, Centre et TP.

Cette année à la MBM, des délégués CGT, FO, CFTC et CFE-CGC ont signé l’engagement à porter et conduire solidairement la demande de mise en place de chèques déjeuner.

Ayant accepté de faire une étude sur les chèques déjeuner dans l’entreprise, la direction nous a présenté une hypothèse sur la base de 800 personnes, (ne sont pas pris en compte les salariés bénéficiant de remboursement de frais de repas et ne pouvant être ayants droits des chèques déjeuner) à raison de 2 chèques de 6€ par semaine et un coût pour l’entreprise de 3€. Cela représenterait 0,73% de la masse salariale.

Le 19 décembre, la direction a parlé pour 2013 d’une progression de la Masse Salariale de 1,7% pouvant aller jusqu’à 2% avec les promotions. Elle chiffre à 1,05% de la MS les mesures suivantes: l’augmentation de minimas conventionnels : 0,5% de la MS ; l’évolution de la prime d’ancienneté : 0,2% ; la compensation de la cotisation prévoyance : 0,2% ; l’effet report des augmentations de l’an dernier ! : 0,15% (ça, c’est nouveau, et pourquoi ne pas remonter à …)

La direction dit vouloir garder une enveloppe pour augmenter ceux qu’elle nomme « les plus méritants ». Elle dit aussi être convaincue que les chèques déjeuner sont « un bon dispositif, un bon élément salarial » mais « on n’a pas les moyens de se financer les titres restaurant en 2013 ». Le croyez-vous ? Avec un résultat d’exploitation à fin novembre 2012 de 4,1% du C.A.

Qu’en pense la CGT ?

  1. Si la direction devait persister dans son refus de mettre en place les chèques déjeuner, nous jugerions cela comme une attitude de blocage, à l’inverse d’autres directions de Point P qui ont accepté de négocier et de s’engager dans la mise en place de chèque-déjeuner. L’entreprise a non seulement les moyens de financer les chèques déjeuner mais ce serait un geste fort pour le personnel.

  1. Accepter la demande commune des syndicats, reflet de ce qu’expriment les salariés, ce serait aussi pour la direction montrer qu’elle sait, de temps en temps, être à l’écoute des salariés, être en capacité de dire oui et au final donner une image de « leader social ».

  1. Selon la direction, 96,5% du personnel aurait bénéficié d’une revalorisation de salaire en 2012 (toutes mesures confondues) mais elle refuse de nous communiquer le listing des salaires et des primes d’ancienneté de décembre 2011 et de septembre 2012. Nous avons aussi demandé le montant des primes distribuées. Réponse partielle de la direction, n’apparaissent pas les primes pour les chefs d’agences, de site, de secteur …

La crise … ceux qui en parlent le plus ne la subissent pas.


Jugez-en ! La rémunération des patrons du CAC 40 n'est pas proportionnelle à la crise.
Après avoir bondit de 33% en 2010, le revenu moyen d’un patron du CAC 40 s’élevait à 4,2 millions d’euros par an en 2011 selon le cabinet Proxinvest ; soit 4% de plus que l’année passée alors que l’inflation était autour de 2%.


On peut toujours bosser et pour certain ne pas réagir quand nos patrons nous pressent comme des citrons et nous divisent, mais pendant ce temps les poches de nos patrons se remplissent !!
Et ce n'est pas notre cas !!!




L’emploi et les effectifs à la MBM et chez Point P

Vous le savez, vous le vivez sur votre lieu de travail, on est de moins en moins nombreux pour faire le boulot. 353 emplois supprimés à la MBM entre décembre 2008 et octobre 2012.
Au niveau de Point P, c’est 2528 emplois de moins entre décembre 2008 et décembre 2012.

Et nous sommes de nouveau entrés dans une crise où vos emplois sont menacés. Ne restez pas isolé, le syndicat CGT et ses militants sont là pour vous conseiller, vous aider, vous assister.

Heures supplémentaires.

Elles doivent être au choix du salarié payées ou récupérées avec la majoration de 25% pour les 8 premières heures supplémentaires. Leur paiement doit apparaître clairement sur la feuille de paie et ne peut pas être remplacé par une prime exceptionnelle.

Pour vous mais aussi avec vous !

La CGT est une force active et engagée dans l’entreprise pour vous, votre santé, votre travail, votre salaire, vos droits …. dans l’intérêt général.
Mais sans vous, de réelles avancées ne sont pas possibles ou trop lentes.

Nous ne vous distribuerons pas d’agendas et aucun militant CGT de l’établissement négoce n’a de voiture de service ou de fonction comme l’ont des représentants d’autres syndicats.

Notre syndicat CGT fonctionne uniquement avec les cotisations des syndiqués CGT qui servent à vous défendre, y compris devant les Prud’hommes, à vous informer, à venir vous voir et discuter avec vous, à créer notre nouveau site … etc.

Par contre, le CE « négoce » prend en charge un forfait de 3000 km par an et pour chaque élu du CE pour aller à votre rencontre, distribuer bons d’achat, colis, chèques vacances …

Réagissez, exprimez-vous, ne vous plaignez plus en silence !
Que vous soyez ouvrier(e), employé(e), technicien(ne), agent de maitrise ou cadre, vous pouvez compter sur nous, nous contacter mais aussi adhérer à la CGT.
Pour le syndicat CGT de Point P MBM
Emma Demenitroux, déléguée CGT,
Janvier 2013

NAISSANCE DU SITE CGT Point P MBM

 BIENVENUE aux dernier né en ce début d’année, le site du syndicat CGT Point P MBM dont voici le lien

http://cgtpointpmbm.fr/




Emma Demenitroux
CGT Point P MBM
Membre du comité de groupe Saint-Gobain et de l’observatoire Point P

mercredi 2 janvier 2013

La CGT  St gobain Batiment vous Souhaite une bonne année 


Comment envisager l’avenir quand 8.6 millions de personnes ont moins de 964 € par mois pour vivre, quand 100 000 personnes de plus sont inscrites aux Restau du cœur et que le manque de nourriture risque d’être un problème, quand nos anciens et leurs pensions s’inscrivent à ces mêmes Restau et sont de plus en plus nombreux à ne plus pouvoir joindre les 2 bouts.

Quand 600 000 familles vivent dans des taudis « un taudis c’est le contraire d’un logement »

Quand 8 millions de personnes n’ont pas la possibilité de se chauffer correctement.
Quand les demandeurs d’emploi affluent pour se déclarer et à ce sujet revenons sur les ruptures conventionnelles et le rapport n° 80 du Centre de recherche de l’emploi et sur un échantillon de 101 ruptures conventionnelles on s’aperçoit que six mois après 75 sont encore inscrits à Pôle emploi le constat c’est que cette mesure est utilisée pour des situations qui n’étaient pas prévues à l’origine.

Concernant les retraites le COR (Conseil d’orientation des retraites) sur les perspectives financières 2020, 2040 et 2060 fait apparaître un financement compris entre 20.8 et 24,9 milliards d’euros et confirme la position de la CGT sur cette mesure d’allongement du départ à la retraite qui n’a rien apportée, seule la contribution des revenus financiers des entreprises, la soumission de l’épargne salariale à cotisations etc.. etc.. restent des moyens pour pouvoir s’en sortir.
Mais Laurence Parisot ne le voit pas de cet œil et déclare « l’idéal serait que nous puissions dans les deux ans à venir, porter l’âge légal de départ en retraite à 63 ans et la durée de cotisation à 43 annuités »


La pauvreté touche en premier lieu les enfants et les jeunes en milieu urbain : 2.7 millions d’enfants et 42.5% des jeunes entre 18 et 24 ans sont sous le seuil de pauvreté et la moitié des enfants des ZUS (zones urbaines sensibles) vit dans une famille pauvre.



Donc pour 2013 plus dure sera la lutte et la CGT compte faire entendre sa voix auprès de notre gouvernement afin que des propositions soient à la hauteur de cette situation.