LA CGT SAINT GOBAIN BATIMENT C EST :
lundi 15 septembre 2025
lundi 8 septembre 2025
Conjoncture, transitions, IA, relation client : la vision du leader de la distribution
Olivier Mercadal revient pour Zepros sur l'actualité des 12 mois écoulés. L'occasion aussi de faire un point sur les chantiers en cours et à venir menés par Saint-Gobain Distribution Bâtiment France et ses enseignes.
« Nous sommes confiants dans un rebond de l’activité au deuxième semestre. Quant à la reprise, elle reste à confirmer. Elle sera amplifiée si le climat de confiance est restauré. »
«Je suis plutôt optimiste pour 2025-2026. Si la stabilité persiste, la rénovation énergétique prendra enfin toute sa place.»
Nous avons aussi lancé le label Agir, qui nous permet de mieux identifier les produits durables. Nous avons déjà labellisé une vingtaine de catégories de produits, ce qui représente environ 20 % de notre offre.
Nous avons également développé la solution Terlian, un matériau basé sur la terre d’excavation, qui offre une alternative innovante et décarbonée dans la construction, et en particulier pour le confort d’été. Terlian est conçu pour être facilement industrialisé et adapté à différents usages, allant de la construction neuve à la préfabrication, et la rénovation avec le carreau de terre. Plusieurs chantiers tests ont été réalisés avec succès, et nous croyons beaucoup au potentiel de ce matériau pour transformer les pratiques du Bâtiment.
« Travailler sur l’impact positif est l’un des deux piliers prioritaires de notre plan Ambition 2035. C’est un chantier de long terme qui nous amène à réfléchir sur nos agences, nos offres produits et nos missions. »
« L’agence reste un lieu de vie de nos clients. Le client continue à aller y acheter ses produits. La part des livraisons restent stables. La relation commerciale reste prédominante dans nos métiers. Nous allons continuer à y investir et grâce à l’IA, nous allons “augmenter” nos agences et “augmenter” nos collaborateurs sur la partie conseil. »
dimanche 29 juin 2025
jeudi 26 juin 2025
Le droit à la santé et l’accès aux soins une revendication majeure.
lundi 23 juin 2025
Trophées du Négoce 2025 : Pum, meilleure marque-employeur
Pum tente de féminiser le négoce. L’enseigne a développé une politique pour recruter plus de femmes et promouvoir des salariées aux postes d'encadrement.
Filiale de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France, Pum s’est engagée depuis 2023 pour féminiser les métiers du négoce, ce qui lui vaut le trophée de la marque employeur. La démarche a été amorcée par l’ancienne dirigeante Sibylle Daunis-Opfermann (aujourd’hui à La Plateforme du Bâtiment), avec l’organisation de la première Journée Talents au Féminin, afin d’échanger autour des freins à la progression des femmes dans l’entreprise.
Pum s’est fixé pour objectif de passer de 16% de femmes à des fonctions d’encadrement en mars 2023, à 30% en 2030 et 35% en 2035. De plus, la publication d’un guide du sexisme par le groupe SGDB F a servi à sensibiliser le personnel masculin pour aboutir à un environnement de travail plus sain. Ce document d’une vingtaine de pages recense les pratiques à bannir (dans un quiz), de l’outrage sexiste à l’agression sexuelle, et illustre les réactions à adopter.
Plus globalement, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France a rénové ses visuels de communication externe et de recrutement en faisant apparaître davantage de femmes et a vu augmenter la part de femmes dans les candidatures de recrutement, notamment aux postes d’encadrement.
Négoce
vendredi 13 juin 2025
Saint-Gobain et l'IA
Le distributeur de matériaux de construction a testé un moteur de recherche dopé à l'IA sur son site principal, celui de Point P. Avec des gains en termes de chiffre d'affaires dès le premier mois.
Premier distributeur de matériaux de construction en France, avec 2 000 agences sur tout le territoire sous des enseignes comme Point P, Cedeo ou la Plateforme du bâtiment, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France (SGDBF) possède également de nombreux canaux de e-commerce, avec pas moins de 11 sites et 8 apps. Des ventes en ligne qui pèsent jusqu'à 20% du chiffre d'affaires de certaines enseignes. « 30% des usages sur ces canaux numériques sont liés à la recherche, sur laquelle nous rencontrons pas mal de problématiques sémantiques, souligne Laurence Beauregard, la responsable de la transformation par l'IA de SGDBF. Par ailleurs, le moteur existant, à base de règles, était lent et complexe et fournissait des résultats peu satisfaisants. Les recherches sans résultat atteignant jusqu'à 25%. » Enrichi de multiples surcouches, l'outil était qui plus est très dépendant des équipes technologiques pour toute évolution.
Le monde informatique
mercredi 11 juin 2025
Saint-Gobain : dividende approuvé !
La Compagnie de Saint-Gobain a tenu, ce 5 juin, l'Assemblée générale mixte de ses actionnaires, à l'issue de laquelle elle a réuni un Conseil d'administration dans sa composition résultant de cette assemblée. Lors de l'assemblée, qui a réuni 76,59% des actions ayant le droit de vote, toutes les résolutions proposées ont été adoptées à une large majorité.
Benoit Bazin renouvelé dans ses fonctions
L'Assemblée a renouvelé le mandat d'administrateur de Benoit Bazin et le
Conseil d'administration l'a reconduit dans ses fonctions de Président du
Conseil d'administration et de Directeur Général de la Compagnie de
Saint-Gobain. Jean-François Cirelli demeure Administrateur Référent indépendant
et Vice-Président du Conseil.
Au Conseil d'administration
Le mandat de Sibylle Daunis Opfermann, administratrice représentant les
salariés actionnaires, a également été renouvelé.
L'Assemblée a en outre approuvé la nomination de 3 nouveaux administrateurs
indépendants :
- Maya Hari, de nationalité singapourienne, associée au sein de l'entreprise
Modern Manifesto ;
- Antoine de Saint-Affrique, de nationalité française, Directeur Général de
Danone ;
- Hans Sohlström, de nationalité finlandaise, Président-Directeur Général de
Stora Enso.
Ces nominations portent la part des administrateurs indépendants à 91% des
membres du Conseil (hors administrateurs salariés et représentant les salariés
actionnaires), soit 100% hors Président-Directeur Général.
Pamela Knapp, Agnès Lemarchand et Gilles Schnepp quittent le Conseil, leurs
mandats étant arrivés à échéance. Les administrateurs ont salué leurs
contributions aux débats et aux décisions du Conseil ainsi qu'aux travaux de
ses Comités.
Composition des Comités du Conseil d'administration
A la suite de ces nouvelles nominations, les comités du Conseil seront
composés comme suit à compter de ce 5 juin...
Comité d'audit et des risques : Thierry Delaporte (Président et administrateur indépendant) ;
Geoffroy Roux de Bézieux (administrateur indépendant) ; Hans Sohlström
(administrateur indépendant) ; Hélène de Tissot (administratrice indépendante).
Comité des nominations et des rémunérations : Jean-François Cirelli
(Président, Administrateur Référent indépendant et Vice-Président du Conseil) ;
Lydie Cortes (administratrice salariée) ; Dominique Leroy (administratrice
indépendante) ; Antoine de Saint-Affrique (administrateur indépendant).
Comité de la responsabilité sociale d'entreprise : Sophie Brochu
(Présidente et administratrice indépendante) ; Maya Hari (administratrice
indépendante) ; Jana Revedin (administratrice indépendante) ; Philippe
Thibaudet (administrateur salarié).
Politique de dividende
Les actionnaires ont approuvé la distribution d'un dividende en hausse de
5% à 2,2 euros par action (2,10 euros au titre de l'exercice 2023), avec
versement intégral en espèces. Le dividende sera détaché de l'action le 9 juin,
et mis en paiement à compter du 11 juin.
Le boursier.com
vendredi 16 mai 2025
Saint-Gobain Distribution Bâtiment France prend une participation majoritaire dans La Maison Des Travaux
Saint-Gobain Distribution Bâtiment France (SGDB France) annonce une prise de participation majoritaire dans la société France Bati Courtage, tête du réseau de courtiers en travaux franchisés La Maison Des Travaux pour mieux répondre localement et en proximité au développement de la rénovation d’ampleur, notamment énergétique.
Verre et protections mag
mardi 13 mai 2025
Petite histoire du 1er mai
Confiné.es, privé.es de manifestation, mais pas bâillonné.es ! La CGT propose de s’exprimer sur les réseaux sociaux afin de faire connaître les revendications pour la reprise du travail après confinement et les exigences pour l’après COVID 19 qui ne peuvent s’imaginer qu’avec une rupture avec le libéralisme. Nous publions une petite histoire du 1er mai et de ses manifestations. Des journées au départ de beaucoup d’avancées sociales.
1884 : Congrès de l’American Federation of Labor
Au IVème congrès de l'American Federation of Labor, en 1884, les principaux syndicats ouvriers des États-Unis s'étaient donné deux ans pour imposer aux patrons une limitation de la journée de travail à huit heures. Ils avaient choisi de débuter leur action un 1er mai parce que beaucoup d'entreprises américaines entamaient, ce jour-là, leur année comptable.
Arrive le 1er mai 1886. Un grand nombre de travailleurs obtiennent immédiatement satisfaction de leur employeur (près de 200 000 travailleurs). Mais d'autres, moins chanceux, au nombre d'environ 340 000, doivent faire grève pour forcer leur employeur à céder.
Le 3 mai, une manifestation fait trois morts parmi les grévistes de la société McCormick Harvester à Chicago. Une marche de protestation a lieu le lendemain et dans la soirée, tandis que la manifestation se disperse à Haymarket Square, il ne reste plus que 200 manifestants face à autant de policiers. C'est alors qu'une bombe explose devant les forces de l'ordre. Elle fait une quinzaine de morts dans les rangs de la police.
Trois syndicalistes anarchistes sont jugés et condamnés à la prison à perpétuité. Cinq autres sont pendus le 11 novembre 1886 malgré des preuves incertaines (ils seront réhabilités plusieurs années après).
Sur une stèle du cimetière de Waldheim, à Chicago, sont inscrites les dernières paroles de l'un des condamnés, Augustin Spies : « le jour viendra où notre silence sera plus puissant que les voix que vous étranglez aujourd'hui ».
Manifester pour la journée de 8 heures
Trois ans après le drame de Chicago, la IIème Internationale socialiste réunit à Paris son deuxième congrès. Celui-ci se tient au 42, rue Rochechouart, salle des Fantaisies parisiennes, pendant l'Exposition universelle qui commémore le centenaire de la Révolution française. Les congressistes se donnent pour objectif la journée de huit heures (soit 48 heures hebdomadaires, le dimanche seul étant chômé), sachant que jusque-là, il était habituel de travailler dix ou douze heures par jour (en 1848, en France, un décret réduisant à 10 heures la journée de travail n'a pas résisté plus de quelques mois à la pression patronale).
Le 20 juin 1889, sur une proposition de Raymond Lavigne, ils décident qu'il sera « organisé une grande manifestation à date fixe de manière que dans tous les pays et dans toutes les villes à la fois, le même jour convenu, les travailleurs mettent les pouvoirs publics en demeure de réduire légalement à huit heures la journée de travail et d'appliquer les autres résolutions du congrès. Attendu qu'une semblable manifestation a été déjà décidée pour le 1er mai 1890 par l'AFL, dans son congrès de décembre 1888 tenu à Saint Louis, cette date est adoptée pour la manifestation ».
Le 1er mai 1891 à Fourmies
Dans cette petite ville du nord de la France, la manifestation rituelle tourne au drame. La troupe équipée des nouveaux fusils Lebel et Chassepot tire à bout portant sur la foule pacifique des ouvriers. Elle fait dix morts dont 8 de moins de 21 ans. L'une des victimes, l'ouvrière Marie Blondeau, habillée de blanc et les bras couverts de fleurs, devient le symbole de cette journée.
Avec le drame de Fourmies, le 1er mai s'enracine dans la tradition de lutte des ouvriers européens. Quelques mois plus tard, à Bruxelles, l'Internationale socialiste renouvelle le caractère revendicatif et international du 1er mai.
L'horizon paraît s'éclaircir après la Première Guerre mondiale. Le traité de paix signé à Versailles le 28 juin 1919 fixe dans son article 247 « l’adoption de la journée de huit heures ou de la semaine de quarante-huit heures comme but à atteindre partout où elle n'a pas encore été obtenue ».
Les manifestations rituelles du 1er mai ne se cantonnent plus dès lors à la revendication de la journée de 8 heures. Elles deviennent l'occasion de revendications plus diverses. La Russie soviétique, sous l'autorité de Lénine, décide en 1920 de faire du 1er mai une journée chômée. Cette initiative est peu à peu imitée par d'autres pays... L'Allemagne nazie va encore plus loin : Hitler, pour se rallier le monde ouvrier, fait dès 1933, du 1er mai une journée chômée et payée.
Du triangle au muguet
En France, dès 1890, les manifestants du 1er mai ont pris l'habitude de défiler en portant à la boutonnière un triangle rouge. Celui-ci symbolise la division de la journée en trois parties égales : travail, sommeil, loisirs.
Le triangle est quelques années plus tard, remplacé par la fleur d'églantine. En 1907 à Paris, le muguet, symbole du printemps en Île-de-France, remplace cette dernière. Le brin de muguet est porté à la boutonnière avec un ruban rouge.
Le 23 avril 1919, le Sénat français ratifie la journée de huit heures et fait du 1er mai suivant, à titre exceptionnel, une journée chômée.
Dans l’histoire du 1er Mai, l’année 1936 est certainement une des plus importantes. Plusieurs événements vont la marquer. D’abord dès le mois de mars se tient du 2 au 6 le congrès au cours duquel la CGT se réunifie. Ensuite la manifestation du 1er mai tombe deux jours avant les élections législatives qui vont porter au pouvoir les forces politiques du Front populaire et porter à la tête du gouvernement français le leader socialiste Léon Blum. Enfin, après un mouvement de grève mémorable, sont signés en juin les accords de Matignon qui légalisent la semaine de quarante heures, les congés payés ainsi que les conventions collectives. L’année suivante le 1er Mai 1937 aura lieu sans doute la plus grande manifestation jamais organisée en France.
1941 : la fête du Travail
C'est pendant l'occupation allemande, le 24 avril 1941, que le 1er mai est officiellement désigné comme la fête du Travail et de la Concorde sociale et devient chômé. Cette mesure est destinée à rallier les ouvriers au régime de Vichy. Son initiative revient à René Belin. Il s'agit d'un ancien dirigeant de l'aile socialiste de la CGT (Confédération Générale du Travail) qui est devenu secrétaire d'État au Travail dans le gouvernement du maréchal Pétain.
À cette occasion, la radio officielle ne manque pas de préciser que le 1er mai coïncide avec la fête du saint patron du Maréchal, Saint Philippe (aujourd'hui, ce dernier est fêté le 3 mai) !
1947 : journée chômée
En avril 1947, sur proposition du député socialiste Daniel Mayer et avec l’accord du ministre du Travail, le communiste Ambroise Croizat, le 1er mai devient dans toutes les entreprises publiques et privées un jour « chômé et payé ». Autrement dit, le 1er mai n'est toujours pas désigné officiellement comme fête du Travail. Cette appellation n'est que coutumière....
1954 : les manifestations sont interdites
Alors que la guerre d’Indochine se termine pour les autorités françaises avec la partition du Vietnam, une autre guerre, une guerre sans nom commence en Algérie. Elle va durer huit ans. Dès lors les manifestations seront interdites dans Paris. Celle du 1er mai 1954 se transformera en un rassemblement sur la pelouse de Reuilly.
De 1968 à nos jours
Il faudra attendre quinze années c’est-à-dire 1968 pour qu’à l’initiative de la CGT, à nouveau, le monde du travail se donne rendez-vous dans les rues de Paris pour défiler un 1er mai. Le cortège partira de la République pour se rendre à la Bastille symbole des libertés recouvrées.
Depuis, les cortèges du 1er mai ont connu des fortunes diverses. La manifestation des plus importantes de l’après mai 1968 fut probablement celle de 1975, qui fut prétexte à fêter la fin de la guerre du Vietnam, et celle de 2002, pour lutter contre les idées racistes et les propositions antisociales du Front National présent au second tour de l’élection.
CGT énergies
jeudi 24 avril 2025
À Bègles (33), Velux et Asturienne font showroom commun
Spécialiste des métiers de la couverture-zinguerie, l’enseigne de Saint-Gobain a créé à Bègles, près de Bordeaux, une salle d’exposition en tandem avec la marque Velux. Un projet « inédit » dans la filière du négoce.
C’est une première pour Asturienne, mais aussi dans la distribution Bâtiment. À Bègles, en périphérie Sud de Bordeaux, l’enseigne de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France (SGDB France) a implanté au cœur de son agence un showroom consacré à 100 % à la marque danoise Velux.
Il s’agit là d’une « initiative inédite » menée en association avec le fabricant de fenêtres de toit. Ce partenariat doit servir trois objectifs principaux : « inspirer grâce à une mise en scène des produits en conditions réelles », « faciliter la décision d’achat en permettant aux artisans d’accompagner les clients dans un espace dédié » et « valoriser les solutions innovantes et premium » pour coller et répondre aux évolutions des marchés de la rénovation énergétique et du neuf.
L’occasion pour Velux de valoriser « une sélection stratégique de produits » tels que ses verrières 2 en 1 et 3 en 1, des fenêtres pour toits plats, volets roulants et stores notamment. Dans un communiqué, le distributeur précise que ce showroom constitue aussi « un lieu d’échange et de formation ». Velux y interviendra chaque trimestre pour aborder divers sujets : normes, réglementation, accessoirisation, etc.
Optimiser la décision d’achat
« Depuis la mise en place de ce showroom en janvier 2025 dans notre agence, nous avons pu constater que les clients couvreurs, mais aussi architectes venaient avec les particuliers pour voir la mise en situation de la verrière 3 en 1 », constate Julien Santos, le chef d’agence.
De son côté, Aurélie Auffret, cheffe de marché fenêtres de toit chez Asturienne, estime que ce « lieu d’inspiration où les professionnels peuvent venir avec leurs clients pour faciliter la décision d’achat ».
Évoquant pour sa part « un réel partenariat engagé depuis des années entre Asturienne et Velux », Sabrina Vadrot (responsable nationale Grands comptes distribution BtoB et clients installateurs de l’industriel), précise que « ce n’est que le début de ce beau projet » : le nouveau showroom « va nous permettre aussi de tester des choses différentes ». Et, pourquoi pas, de les dupliquer dans d’autres agences Asturienne ? Réponse, peut-être, dans quelques mois…
Zepro