LA CGT SAINT GOBAIN BATIMENT C EST :

Bienvenue dans le blog des syndicats d'entreprise CGT SAINT-GOBAIN DISTRIBUTION qui regroupe les enseignes suivantes :

POINT P, distribution négoces généralistes et services aux entreprises de Travaux Publics
LAPEYRE, réseau de distribution destiné aux particuliers et aux professionnels
DSC CEDEO, enseigne spécialisée en sanitaire, chauffage et climatisation
Envie de salle de bain, enseigne grand public spécialiste de la salle de bains
CDL Elec, enseigne spécialisée en matériel électrique, chauffage, éclairage, domotique
ASTURIENNE, enseigne spécialisée dans la distribution de produits de couverture
PUM PLASTIQUE, distribution de produits et solutions plastiques
SFIC, enseigne spécialisée dans l’aménagement intérieur
La Plate Forme du Bâtiment, enseigne exclusivement aux professionnels, toutes spécialités
DISPANO, distribution de bois, panneaux, menuiseries
DECOCERAM, enseigne spécialisée dans le carrelage

Le temps de la mobilisation et des propositions d'amélioration de nos conditions de travail et de rémunération est venue
Ce n'est que tous ensemble que nous y arriverons !
La C.G.T est le syndicat qui défendra vos intérêts et vos revendications sans craindre la direction.
Les seules batailles perdues d'avance sont celles que l'on ne mènent pas !

Le syndicalisme fait partie du patrimoine vivant de l’humanité et de la démocratie. Fait social devenu universel, il a d’abord émergé en Europe avec la révolution industrielle, et y est resté depuis profondément enraciné.

L’histoire plus que séculaire de la CGT s’inscrit dans cet ensemble. Née de la volonté des salariés de s’organiser collectivement et durablement pour défendre leurs intérêts face à l’oppression et à l’exploitation, pour conquérir des droits et les faire valoir, pour imaginer un monde plus juste et proposer des voies pour y parvenir, sont le coeur de son action syndicale.

Bâtie selon deux dimensions professionnelles et géographiques, la CGT s’est forgée et constituée au fil de l’histoire autour d’une conception de solidarité entre les salariés qui combine l’ancrage à l’entreprise et à son environnement territorial.

« Une étrange folie possède les classes ouvrières des nations où règne la civilisation capitaliste. Cette folie traîne à sa suite des misères individuelles et sociales qui, depuis deux siècles, torturent la triste humanité. Cette folie est l'amour du travail, la passion moribonde du travail, poussée jusqu'à l'épuisement des forces vitales de l'individu et de sa progéniture... »
(Paul Lafargue)

samedi 30 juin 2012

Chalendar: «La relance par la consommation est illusoire


INTERVIEW - Pour Pierre-André de Chalendar, PDG de Saint-Gobain et membre du Cercle de l'industrie, le redressement de la compétitivité de la France impose une baisse du coût du travail.




LE FIGARO. - Plans sociaux, baisse des marges, carnets de commandes qui se vident… Les entreprises sont-elles confrontées à une crise aussi violente que fin 2008?
Pierre-André DE CHALENDAR. - Nous ne sommes pas dans une conjoncture aussi mauvaise que lors de la chute de Lehman Brothers. La situation est grave en Espagne et en Italie ; ailleurs en Europe, l'économie réelle a ralenti seulement depuis quelques semaines. Mais nous risquons une contagion rapide car la crise de la zone euro est entrée dans une phase aiguë. Les écarts de taux d'intérêt d'un État à l'autre ne sont pas tenables. Une réponse politique est indispensable, un saut quantique pour l'Europe, qui doit renforcer ses mécanismes de coopération sur les plans budgétaire et financier. Cela doit aller de pair avec une confiance accrue dans les institutions communautaires. Tout cela nécessite un accord franco-allemand, sur lequel je veux être confiant. Pour faire ce saut, l'Allemagne nous tend la main, il faut la prendre.
Hausse des cotisations retraites, annulation de la TVA «antidélocalisation», coup de pouce au smic: les premières décisions du nouveau gouvernement alourdissent justement le coût du travail…
Elles ne vont pas dans le bon sens. Mais il est encore trop tôt pour juger l'action du gouvernement, nous n'avons que quelques mesures, pas une vision d'ensemble.

Les salaires sont donc trop élevés?
Ce n'est pas un problème de salaires mais de cotisations sur les salaires. Beaucoup des charges ne relèvent pas du travail et méritent d'être transférées hors de l'entreprise. Est-ce aux entreprises de financer, par exemple, la politique familiale?

publié 


mercredi 20 juin 2012

NAO 2012 chez BROSSETTE ou en est on ?


La  DEUXIÈME RÉUNION a eu lieu le Mercredi 20 JUIN 2012  


La direction Brossette nous a informé qu elle proposé un gel de la masse salariale ( inacceptable pour nous) après 3 PLAN sociaux
qui a réduit l effectif de 30%



Nous avons fait part de nos revendications légitimes 


La Cgt  brossette a fortement appuyé pour des augmentations de salaire


-           2,5% d’augmentation générale pour les salaires de base inférieurs ou égaux
                    1900€ avec un minimum d’augmentation de 60€.
- 2% d’augmentation générale pour les salaires de base supérieurs à 1900€
              avec un minimum d’augmentation de 30€.
- Généralisation des tickets restaurant a l'ensemble des salariés.
- Revalorisation de l'indemnité kilométrique de déplacement.
- Ouverture de négociation sur garantie de rémunération évolutive    pour les    
salariés demeurant au même poste toute leur carrière professionnelle.


- L instauration de la prime salissure à 15€  par mois pour
   le personnel logistique


-    La   Prise en charge de la journée de solidarité par l entreprise




Et une dernière réunion est prévue le 2 JUIN a lyon a la direction générale

 

vendredi 8 juin 2012

Le parcours du BUS INFO-DROITS CGT



Elections TPE 2012 : La CGT part en campagne



 Montpellier | 31 mai
- Marseille | 2 juin
- Nice | 6 juin
- Lyon| 11 juin
2ème vague
- 25/09 |Lille
- 27/09 |Caen
- 29/09 |Rennes
- 02/10 |Brest
- 04/10 |Nantes
- 06/10 |Tours
- 09/10 |Orléans
- 11/10 |Dijon
- 13/10 |Besançon
- 16/10 |Strasbourg
- 18/10 |Reims
- Du 20 au 26/10 |île de France
Du 28 novembre au 12 décembre 2012, place à la démocratie sociale ! C’est une première dans l’histoire sociale de notre pays ; Les salariés des petites entreprises, comme ceux qui travaillent pour des Particuliers employeurs vont pouvoir exprimer leur confiance à l’organisation syndicale de leur choix. Ce scrutin revêt une importance particulière pour plusieurs raisons : Il va permettre de mesurer l’audience réelle de chaque syndicat, et ainsi, d’établir la représentativité de chaque organisation. La loi du 20 août 2008 qui a profondément réformé les règles applicables dans ce domaine va donner beaucoup plus de légitimité aux accords de branches et aux conventions collectives qui impactent directement le quotidien des millions de salariés qui travaillent dans notre pays. Pour les salariés des très petites entreprises (moins de 11 salariés), ou encore ceux qui travaillent dans l’artisanat et dans les métiers des services à la personne, pour des Particuliers employeurs, il constitue un premier pas très important pour gagner de nouveaux droits. Mais pour gagner ces nouveaux droits, il faut lutter, s’organiser, se syndiquer, s’impliquer ; C’est tout le sens de ce que notre CGT défend au quotidien Je, tu, il, nous et vous, nous sommes la CGT de tous les salariés



jeudi 7 juin 2012

L Accord d interessement chez Brossette


L Accord d intéressement chez Brossette
Les organisations syndicale se sont chez brossette  réunie le 27 JANVIER 2012.
Après étude de l'accord présenté par la direction ( du incroyable complexité et ne répondant pas a toutes nos revendications ( simplicité de l accord,  équité de répartition , garantie de sécurité et risque de non prise en compte de tous les AT )

La CGT brossette a décidé de ne pas signe cet accord
En effet l'accord s'articule sur deux axes :
1-un axe sur le calcul de l'intéressement sur le REX ( résultat d'exploitation du site);
2-sur le nombre AT( accident de travail) survenue dans le trimestre.

Nous considérons qu'une possible stigmatisation des personnels qui ont plusieurs AT où arrêts maladie n'est pas acceptable.
Malgré nos demandes répétez auprès de la direction pour modifier l'accord nous n'avons pas été entendus.

lundi 4 juin 2012

Trois bonnes raisons d'augmenter le SMIC


Après cinq années sans revalorisation, le gouvernement s’apprête à relever le pouvoir d’achat des 10 % de salariés payés au minimum. Entre les fortes
attentes populaires en la matière et le pressing hostile du Medef et de Bruxelles, le gouvernement doit faire un choix conforme à la justice et à l’efficacité.

1. Une nécessité pour
la justice et la croissance

Un salarié sur dix, environ, bénéficierait directement du « coup de pouce » annoncé pour le Smic, un quart des salariés à temps partiel et 7 % de ceux à temps plein. Mais la portée et l’efficacité de la mesure va dépendre de l’importance du « coup de pouce » en faveur d’un Smic mensuel brut, actuellement de 1 393,82 euros, sur la base de 35 heures.

La France est devenue un pays à bas revenus pour un pôle de la société, notamment en raison de l’importance de la précarité de l’emploi. En 2009, un quart des salariés ont perçu sur l’année un revenu salarial net inférieur à 9 414 euros (0,75 Smic sur l’année), soit moins de 784,50 euros en moyenne par mois. Cela tient pour une bonne part au fait qu’ils occupent des emplois à temps partiel. Un petit « coup de pouce » apparaîtrait bien dérisoire à ces salariés qui, souvent, ne touchent qu’un demi-Smic.
Une augmentation de ce type tuerait instantanément une grande partie des PME qui sont déjà en difficulté, martèle le patronat. La proposition du Front de gauche est de passer le Smic à 1 700 euros brut en début de mandat présidentiel puis de l’augmenter progressivement pour arriver à 1 700 euros net. La première augmentation revient donc à 21 % par rapport au Smic actuel d’environ 1 500 euros brut (9,19 euros brut horaire).

Jusqu’ici, la modération salariale n’a pas sauvé les PME de la crise, bien au contraire. Avec le gel des salaires et la baisse du pouvoir d’achat, ces entreprises sont confrontées à un manque de débouchés. D’autant que la répartition par secteurs d’activité des salariés au Smic montre que la grande majorité d’entre eux le sont dans des secteurs non délocalisables et non concernés par le commerce extérieur, selon l’étude de la Dares de septembre. Ainsi, près de 75 % des travailleurs au Smic sont salariés du bâtiment, de la restauration et de l’hôtellerie, des services à la personne, ou encore des salariés de la distribution ou des commerces. Une hausse du Smic des salariés de ces secteurs n’aura pas de conséquences sur la compétitivité de leurs produits ou services, ne provoquant aucune délocalisation.