LA CGT SAINT GOBAIN BATIMENT C EST :

Bienvenue dans le blog des syndicats d'entreprise CGT SAINT-GOBAIN DISTRIBUTION qui regroupe les enseignes suivantes :

POINT P, distribution négoces généralistes et services aux entreprises de Travaux Publics
LAPEYRE, réseau de distribution destiné aux particuliers et aux professionnels
DSC CEDEO, enseigne spécialisée en sanitaire, chauffage et climatisation
Envie de salle de bain, enseigne grand public spécialiste de la salle de bains
CDL Elec, enseigne spécialisée en matériel électrique, chauffage, éclairage, domotique
ASTURIENNE, enseigne spécialisée dans la distribution de produits de couverture
PUM PLASTIQUE, distribution de produits et solutions plastiques
SFIC, enseigne spécialisée dans l’aménagement intérieur
La Plate Forme du Bâtiment, enseigne exclusivement aux professionnels, toutes spécialités
DISPANO, distribution de bois, panneaux, menuiseries
DECOCERAM, enseigne spécialisée dans le carrelage

Le temps de la mobilisation et des propositions d'amélioration de nos conditions de travail et de rémunération est venue
Ce n'est que tous ensemble que nous y arriverons !
La C.G.T est le syndicat qui défendra vos intérêts et vos revendications sans craindre la direction.
Les seules batailles perdues d'avance sont celles que l'on ne mènent pas !

Le syndicalisme fait partie du patrimoine vivant de l’humanité et de la démocratie. Fait social devenu universel, il a d’abord émergé en Europe avec la révolution industrielle, et y est resté depuis profondément enraciné.

L’histoire plus que séculaire de la CGT s’inscrit dans cet ensemble. Née de la volonté des salariés de s’organiser collectivement et durablement pour défendre leurs intérêts face à l’oppression et à l’exploitation, pour conquérir des droits et les faire valoir, pour imaginer un monde plus juste et proposer des voies pour y parvenir, sont le coeur de son action syndicale.

Bâtie selon deux dimensions professionnelles et géographiques, la CGT s’est forgée et constituée au fil de l’histoire autour d’une conception de solidarité entre les salariés qui combine l’ancrage à l’entreprise et à son environnement territorial.

« Une étrange folie possède les classes ouvrières des nations où règne la civilisation capitaliste. Cette folie traîne à sa suite des misères individuelles et sociales qui, depuis deux siècles, torturent la triste humanité. Cette folie est l'amour du travail, la passion moribonde du travail, poussée jusqu'à l'épuisement des forces vitales de l'individu et de sa progéniture... »
(Paul Lafargue)

vendredi 28 décembre 2012

la CGT «très mobilisée pour empêcher tout accord générant plus de flexibilité»




Aux salariés : «Ne restez pas spectateurs»

« Ca fait 25 ans qu'on nous explique qu'en précarisant, en assouplissant le Code du travail, on va créer des emplois », « il n'est pas question d'accepter la théorie selon laquelle les licenciements d'aujourd'hui créent l'emploi de demain », a-t-il dit. Selon Bernard Thibault, « une négociation s'est ouverte à la demande du gouvernement pour faire reculer la précarité, et le Medef nous propose à l'inverse (...) d'ajouter de nouveaux types de contrat de travail et de faciliter les licenciements ».
« Si j'avais un message pour 2013 aux salariés : « Ne restez pas spectateurs », il faut nous-mêmes exercer une pression pour que soient prises les bonnes décisions », a déclaré Bernard Thibault. Pour lui, le changement promis par François Hollande « a été relégué à 2 années plus tard », ce qui engendre « surprise » et « déception » et laisse entendre que « la parole du Medef est plus influente que celle des organisations syndicales ».

mardi 18 décembre 2012

Congés payés


La période de prise du congé principal est déterminée par les conventions collectives ou les accords d’entreprise. A défaut, l’employeur détermine cette période après consultation du comité d’entreprise. Il doit informer les salariés au plus tard deux mois avant l’ouverture de cette période (ce qui, d’ailleurs, n’est pas suffisant pour permettre aux salariés de réserver des locations de vacances).

La période de prise du congé principal ainsi définie se situe entre le 1er mai et le 31 octobre de chaque année. La cinquième semaine ne peut être accolée au congé principal et doit être prise en dehors de la période en question.


Fractionnement du congé principal
 L’employeur peut imposer au salarié de prendre 4 semaines consécutives pour le congé principal. Mais il ne peut pas imposer le fractionnement du congé ni de la cinquième semaine. Le salarié peut donc imposer, lui aussi, de prendre 4 semaines consécutives. S’il y a fractionnement, le congé principal doit être au moins de deux semaines consécutives. 

En général, aujourd’hui, employeur et salarié préfèrent fractionner les congés. L’employeur pour assurer une continuité du service au client. Le salarié pour étaler au fil de l’année les moments de détente et de repos. 

Quand le fractionnement du congé principal entraine la prise d’une partie des congés en dehors de la période du 1er mai au 31 octobre, l’employeur doit accorder 1 jour de congé supplémentaire s’il reste entre 3 et 5 jours ouvrables à prendre et 2 jours s’il reste 6 jours ou plus.

Les jours de congés supplémentaires pour fractionnement sont dus, que le fractionnement résulte d’une demande du salarié ou de l’employeur. La loi autorise une modification de ces règles par accord d’entreprise.

mercredi 12 décembre 2012

Ce n'est pas la crise pour les grands patrons



On peut toujours bosser et pour certain ne pas réagir quand nos PATRONS nous pressent comme des citrons et nous divisent , mais pendant ce temps les poches de nos patrons se remplissent !! ce n'est pas notre cas !!
Et nous allons nous battre aux NAO pour récupérer quelques miettes pour les salariés, les patrons utiliseront même la crise pour nous donner mauvaise conscience lors des négociations !!!!!!


Les dirigeants du CAC 40 ont encore vu leurs rémunérations augmenter, de 4%, à 4,2 millions.
L'info. La rémunération des patrons du CAC 40 n'est pas proportionnelle à la crise. Leurs revenus ont en effet encore augmenté de 4% en 2011, à 4,2 millions d'euros en moyenne, selon une étude du cabinet Proxinvest. Ce chiffre, qui regroupe notamment le salaire fixe, les bonus, les actions gratuites, les options ou encore les indemnités de départ versées au dirigeant, représente près de dix fois le plafond imposé par le gouvernement à la rémunération des dirigeants des entreprises publiques.
>> À lire aussi, Louis Gallois : "mon salaire était incompréhensible"
>>> Outre le montant mirobolant de la rémunération moyenne, que retenir de cette étude?
Une rémunération qui ne reflète pas la conjoncture… Ce chiffre est en effet en décalage avec la baisse de 17%, sur la même période, de l'indice boursier parisien, qui reflète pourtant l'attractivité des entreprises françaises et donc, leur état de santé.
…et manque de transparence. De manière générale, "la politique de rémunération des grandes sociétés françaises manque de transparence et est beaucoup trop court-termiste. Il faut absolument étudier la performance d'un dirigeant sur au moins trois années pleines", note le cabinet Proxinvest, spécialisé dans la gouvernance des entreprises.
Une hausse moindre qu'en 2010 mais... Entre 2009 et 2010, les patrons du CAC 40 avaient en effet déjà vu leur salaire augmenter en moyenne de 33%.
... toujours un niveau de "crise". La rémunération moyenne d'un patron du CAC 40 reste toutefois loin de son niveau d'avant crise. La moyenne observée était en effet de 5,7 millions en 2006 et de 4,7 millions en 2007.
La France bien placée en Europe. L’Hexagone se situe à la sixième place en Europe derrière le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Espagne, la Suisse et l'Italie. Quatorze dirigeants français ont dépassé en 2011 un plafond établi par Proxinvest de 240 Smic annuel soit actuellement 4,6 millions d'euros.
Un chiffre qui doit beaucoup à Maurice Levy. Le patron de Publicis a en effet été l'année dernière le mieux payé (19,6 millions d'euros), grâce notamment au versement anticipé de plusieurs bonus, dont un exorbitant de 16,2 millions d’euros perçu au printemps. Il est suivi par Carlos Ghosn (Renault, 13,3 millions d'euros), Bernard Charlès (Dassault Systèmes, 10,9 millions), le patron de LVMH Bernard Arnault (10,8 millions d'euros) et Jean-Paul Agon (L'Oréal, 7,7 millions).
Renault a toutefois tenu à apporter une précision sur la rémunération de Carlos Ghosn. "La rémunération de M. Ghosn, au titre de PDG de Renault, est de 2,8 millions d'euros. Mais le reste vient de Nissan qui, Renault tient à le rappeler, n'appartient pas au CAC 40", indique le constructeur.
De l'inégalité entre les dirigeants. Tous les grands patrons français ne sont pas logés à la même enseigne. En moyenne un dirigeant du SBF 80 (peloton des 80 entreprises qui suit les 40 plus grandes capitalisations boursières) est deux fois moins rémunéré qu'un dirigeant du CAC 40 avec 2,06 millions d'euros (contre 2,1 en 2010).


jeudi 6 décembre 2012

Ca commence plutot Mal !! nao brossette 2013


Ce lundi 3 décembre s’est tenue la première des trois réunions concernant les négociations annuelles obligatoires (NAO).
Quelques enseignements sont toutefois à tirer des précédentes NAO puisque l’ensemble des salariés s’est vu versés une prime de 200 euros bruts versés en septembre.
. Une formation au femmes a été ouverte et sept d’entre elles devraient bientôt rejoindre nos équipes de vendeurs.
Notons aussi la revalorisation des frais kilométriques et la journée enfant maladie dont certains ont déjà pu bénéficier.
L’accord sur la participation relative aux accidents de travail (AT) lui est plus que mitigé. En effet, bien que quelques salariés aient bénéficié d’une prime, cet accord visait surtout à faire chuter notre taux d’AT. Ce n’est pas le cas au jour d’aujourd’hui puisque le taux reste sensiblement égal à celui de l’an dernier.
( Pour rappel la CGT ne la pas signé)

Revenons aux NAO en cours…
Quelques réponses sans suite jusque-là seront apportées aux membres de la délégation CGT.
Un tour de table sera fait et chacun des syndicats présents exprimera ses attentes.

Après des années d'efforts de la part des salariés de l'entreprise,
la CGT estime qu'un effort doit être effectué aux niveaux des salaires et des conditions de
travail  


  • Nous proposons donc :

    • 3% d'augmentation générale des salaires inférieurs ou égaux à 1900€.
    • 1,5% d'augmentation générale des salaires supérieurs à 1900€.
    • Des tickets restaurant pour l'ensemble du personnel.
    Une revalorisation de l abondement plan epargne
    • Une harmonisation de la prime de conduite.
    • Ouverture de négociation sur garantie de rémunération évolutive pour les salariés demeurant au même poste
    toute leur carrière professionnelle.
    • instauration de la prime salissure à 20€ par mois pour
    le personnel logistique et commercial

Après ce tour de table de complaisance vient enfin le moment où la direction dévoile ses propositions concernant les NAO en cours(en rouges quelques commentaires pour mieux comprendre le contexte):
  • Accès au plan épargne Saint-Gobain.
Chose qui semble couler de source puisque nous sommes désormais des salariés de Saint-Gobain.
  • La possibilité de mensualiser son 13eme mois.
Une perte de revenu pour l’entreprise qui ne pourra pas capitaliser sur l’argent de ses salariés. Diviser le treizième mois en douze : un cadeau ?
  • Un projet de formation ambitieux puisque 4% de la masse salariale y seront consacrés.
Le principal poste de cet ambitieux projet sera Véga. Indispensable outil de travail pour notre futur. Son coût pharaonique entamera sérieusement le dit budget ce qui maintiendra en définitive la formation à un niveau équivalent à celui de l’an dernier.
  • L’accès des femmes aux postes de travail sera favorisé.
Une excellente nouvelle pour l’entreprise et ses performances à venir.
  • Subrogation au 1 er janvier.
La subrogation de l’employeur est le fait qu’en d’absence d’un salarié pour maladie, maternité ou accident du travail, ce dernier peut autoriser l’employeur à percevoir pour son compte les indemnités de maladie versées par la Sécurité sociale. En contrepartie, l’employeur doit maintenir le salaire à hauteur des indemnités reçues
  • Refonte du barème de rémunération des ACE.
Une proposition plus que flou sans chiffres .

Ses diverses propositions ont rencontré un accueil glacial chez l’ensemble des représentants syndicaux présents.
Après une entrevue intersyndicale il a été convenu que lors de la prochaine entrevue la direction devrait faire de réelles propositions conformes aux attentes de l’ensemble des salariés de l’entreprise.
Selon notre directeur général M. Elbim : « Le dialogue ne s’arrête jamais ». Pour l’heure et au vu des propositions à la limite de la décence faite par la direction il semblerait que les rouages du dialogues soit un peu grippés.
La prochaine entrevue se déroulera le 17 décembre.

mercredi 28 novembre 2012

La CGT est engagée dans la lutte contre toutes formes de violences faites aux femmes


Dénonçons la réalité des violences
que vivent les femmes au travail
Humiliations, blagues graveleuses, gestes obscènes, attouchements,
remarques sur le physique, injures, propos à
caractère sexiste et sexuel, revues ou images pornographiques,
harcèlement sexuel, exhibition sexuelle, mains
aux fesses, viol… Les chiffres (Insee) dont nous disposons
datent de 2008 et indiquent que 4,7 % des viols et 25 %
des agressions sexuelles, dont sont victimes les
femmes se produisent au travail ! Cette violence relève
donc bien d’un phénomène social, tant elle est étendue,
mais malheureusement encore trop peu dénoncée par les
femmes qui, elles-même, ont du mal à se reconnaître
comme victimes de violences. Souvent c’est un sentiment
de honte et de culpabilité qui entraîne ce silence
La violence envers les femmes
est intolérable et inacceptable,
c’est la manifestation la plus aiguë
des inégalités entre les femmes
et les hommes
Les violences subies prennent différentes formes : psychologiques,
physiques, verbales, économiques ou sexuelles.
Les manifestations sont multiples : discriminations sexistes,
violences physiques, harcèlements sexuels, sentiment d’insécurité,
insultes, viols, prostitution, représentations dégradantes
de l’image des femmes, mutilations génitales
féminines, mariages forcés… Certaines femmes subissant
plusieurs types de violences.
2,5 millions de femmes seraient victimes de violences conjugales
en France soit 9,1 % de la population féminine française.
Parmi elles, seules 9 % auraient porté plainte en 2011,
et 18 % auraient obtenu un certificat médical. On estime
aujourd’hui qu’en France, une femme décède tous les deux
jours et demi, victime de violences conjugales.
Les violences ont des répercussions sur la santé mentale
pour plus de 80 % des victimes : stress, angoisse,
dépression, tentatives de suicides, symptômes post-traumatiques...
Pour plus de la moitié des femmes, les violences
ont des répercussions sur la santé physique, et pour
40 % d’entre-elles, à la fois sur leur santé physique et leur
santé mentale.
La violence conjugale se rencontre dans toutes les classes
sociales mais touche plus durement encore les femmes les
plus fragiles, jeunes ou en situation de précarité économique
(étude 2012 de l’Observatoire national de la délinquance
et des réponses pénales).
Une étude récente de l’Insee révèle l’ampleur des manifestations
du sexisme :
• plus d’une femme sur sept a subi des insultes et dans
plus de la moitié des cas, les injures utilisées sont à caractères
sexistes ;
• les femmes sont fréquemment invectivées sur leurs
manques de compétence. Les femmes ayant au moins
un diplôme universitaire sont presque deux fois plus
souvent victimes d’injures que les femmes sans diplôme ;
• plus d’une femme sur vingt a été menacée et, dans la
moitié des cas, la menace a été utilisée comme une arme
pour contraindre la femme à effectuer quelque chose ;
• plus d’une femme sur vingt a subi des gestes déplacés.
Dans la majorité des cas, la victime connaît l’agresseur
et ces gestes se produisent dans un quart des cas sur son
lieu de travail ou d’étude !
Contrairement à une idée trop répandue, les violences
faites aux femmes ne sont pas qu’un problème
d’ordre privé.

Observatoire POINT P les questions de la CGT

l’ordre du jour de l’observatoire Point P du 12 novembre pour la CGT  groupe POINT P
( comite de groupe)

 1. Perspectives économiques et sociales, activité des sociétés.,?
2. Situation de l’emploi, licenciements, ruptures conventionnelles, démissions …. Y a-t-il une politique d'économie ( fermetures d'agences ou diminution de personnel) prévue chez POINT P.?
3.      Egalité des salariés ouvriers, maitrises ou cadres (même supérieurs) face aux règles imposées dans le groupe ou règlement intérieur de l'entreprise.?
( exemple , trop de sanctions sont adressées aux ouvriers/employés par des hiérarchiques, qui au moment du relevé de l’infraction, ne sont eux-mêmes pas dans le respect des procédures, ou est l'égalité ?
4   . Devenir de l'activité transport chez POINT P, où l'utilisation des intérimaires ou locatiers est grandissante. POINT P prévoit-il à long terme la sous-traitance de cette activité ? Grande inquiétude de nos chauffeurs.?
5.     Point sur la mise en place des chèques déjeuner. Ou en sont les études démarrées en régions Rhone Alpes et Est. Qu’en est-il précisément de l’attribution des chèques déjeuner dans le Nord et l’Ile de France.?
6.      Respect des jours de fractionnement auxquels les salariés ont droit lorsqu’ils ne prennent que 3 semaines de congés maxi pendant la période d’été qui va du 1er mai au 31 octobre de chaque année.?
7.    Règles d’indemnisation maladie, prise en charge par la prévoyance.?
8.      Suite à l’arrêt de la cour de cassation sur l’assiette de calcul des subventions du CE, nos directions régionales répondent que le dossier est dans les mains des directions de Point P et Saint Gobain. Quelle est votre position sur le sujet. L’arrêt de la chambre sociale de la Cour de Cassation doit s’appliquer aux budgets fonctionnement et Activités Sociales et Culturelles et précise que l’assiette à prendre en considération est le compte comptable 641 et non la seule DADS.?
9.                Règle POINT P sur l'indemnisation prévue dans le cas de mutation forcée (exemple
                    fermeture d'agence).?

10-  Prise en charge du nettoyage des vêtements de travail des salariés exposés aux CMR (agents cancérogènes, mutagènes, ou toxiques pour la reproduction(poussières de bois). Certaines solutions mise en avant par la Direction ne sont pas conformes à la réglementation du Travail et de la santé.(une carte pour aller au pressing ou prime de salissure)?


( le nettoyage est à la charge de l'employeur avec toutes les consignes qui s'y rajoutent.)
-    (Plus généralement, notre organisation syndicale privilégie la mise en place d’un système de collecte des vêtements de travail sur les lieux de travail et de leur nettoyage par un prestataire spécialisé.)

-Exposition aux poussières de bois/nettoyage des vêtements de travail.
Respect des Articles R4412-72 et R4412-73 du code du travail 

mardi 20 novembre 2012

LA CRISE OUI… MAIS PAS POUR LES PROFITS (leurs !!)


VOTRE FORCE POUR L’AVENIR ,



LA CRISE OUI… MAIS PAS POUR LES PROFITS (leurs !!)

La crise pour les salariés de SAINT-GOBAIN ? là est la seule question qui découle du Comité de groupe du 14 novembre :
Durable et structurelle ?
Le Président, Pierre-André DE CHALENDAR, lors de sa présentation s’est voulu, à la fois rassurant, mais aussi vigilant pour garantir ses objectifs… en matière de résultat ! Il observe un retournement negatif très clair des marchés, en France, en Europe, mais aussi dans certains pays dits « émergents ». Il explique aussi qu’en France les problèmes sont liés à la balance du commerce extérieur qui se dégrade depuis dix ans et du manque de compétitivité de notre pays (par exemple coût du travail ?!!). Il annonce une année 2013 très difficile et dans tous les secteurs d’activité. Il pense que la sortie du tunnel pourrait se profiler au 2ème semestre 2014.

Par contre, il maintient les objectifs du plan à cinq ans à plus de 4% par an de croissance du chiffre d’affaires et, bien entendu, les résultats nets du groupe qui vont avec. Malgré la crise, il applique les mêmes recettes : politique de hausse des prix, même différenciée, un plan d’économie drastique avec des coûts de « restructuration » évalués à plus de 350 millions d’euros, des investissements de maintenance au strict minimum et pas de perspective d’achat de grosses sociétés en 2013.
Monsieur DE CHALENDAR explique aussi qu’il maintiendra sa politique de baisse des coûts de revient et ses politiques d’ajustement (d’emplois ?) des capacités, tous pôles et tous pays confondus.

Coûte que coûte, il faudra préserver la profitabilité de Saint-Gobain et, quelqu’en soit le « coût » pour les salariés.
La délégation CGT au Comité de groupe n’est, bien entendu, pas d’accord avec l’analyse du PDG du groupe Saint-Gobain. Car, aux mêmes problèmes comme dans les gouvernements européens, on continue de proposer les mêmes recettes : la soupe populaire pour les salariés du bas, le caviar pour les financiers.

Les politiques d’austérité à Saint-Gobain : moins d’investissements, gains de productivité (WCM, etc…) et en plus en 2013 coup de frein annoncé sur les augmentations de salaire !
Par contre, aucune mesure qui ferait que l’on consacre les dividendes versés aux actionnaires à la garantie des emplois et à l’augmentation du pouvoir d’achat pour consommer plus et ainsi relancer la machine.
En France, en Europe et dans le monde nous n’avons pas de « patrons citoyens » qui privilégieraient l’emploi, le salaire,… aux profits ! Ils ont TOUS un principe très judéo-chrétien : charité bien ordonnée, c’est commencer par soi-même !


La CGT propose un moratoire sur la non distribution de dividendes et des stocks option. Tout doit être fait pour préserver les emplois.
Pour en revenir à la France, qui reste quand même le premier « contributaire » du groupe, il faut quand même savoir que l’on aura perdu plus de 1 000 emplois CDI à la fin de l’année 2012. Sans compter, comme dans la distribution, des licenciments « remplacés » au travers d’un turn over de plus de 20%. Particulièrement à POINT P, on peut évoquer le fait de salariés « kleenex » qui prennent leurs mouchoirs quand ils reçoivent leur lettre de licenciement ! La variation à périmètre constant des effectifs de la distribution en France du 31/12/2011 et 30/09/2012 est à moins 597 personnes en 9 mois ! S’il n’y a pas de PSE à SAINT-Gobain, tel qu’annoncé par exemple dans le gourpe Peugeot, à la lecture des chiffres on voit bien qu’à Saint-Gobain il existe un Plan de Suppression d’Emplois permanent !

Dans le même temps il y a chez LAPEYRE à Cougnaud un PSE qui concerne 98 salariés et dans les abrasifs la fermeture du site de Saint-Ouen l’aumône qui concerne 44 CDI, chez Placo 60 suppréssions de postes et baisse des régimes, à la SIVAQ, chez LAPEYRE et K par K,SAGA DECOR et bien d’autres encore.
Il y a quand même une bonne nouvelle : le Président a réaffirmé le redémarrage du four d’Aniche dans le vitrage, certes plus tard, en 2014, mais les investissements seront faits. Ne nous y trompons pas, n’est-ce pas là non plus le rapport de force, un syndicat CGT fort dans la boîte qui a fait que celle-ci vive demain, même avec des mesures d’adaptation et de gain de productivité ?
2013 risque d’être difficile dans les sites industriels de Saint-Gobain et peut-être dans une moindre mesure dans les autres secteurs d’activité, avec particulièrement le vitrage en berne.
Et puis, on le répète, Saint-Gobain annonce aussi l’austérité sur les salaires pour les N.A.O. 2013. Un conseil, ou plutôt une réalité constante : « il n’y a que les luttes que l’on ne mène pas qu’on est sûr de perdre ».
En ce début d’hiver qui s’annonce froid pour nos salaires, nos emplois, nos conditions de travail, CGT il est temps « d’astiquer » les barbecues, préparer les merguez et les drapeaux CGT et faire en sorte que les décideurs du groupe Saint-GOBAIN et son « grand timonier » passe d’une politique d’austérité à autre chose. La CGT sera force de propositions… et d’actions !!
Après le 9 octobre, après le 14 novembre, continuons et persévérons dans les mobilisations locales, nationales, européennes et mondiales.
Pour la mutuelle, la délégation CGT est aussi montée au créneau : MALAKOFF a fait du dumping pour prendre le « marché » de la santé du groupe SAINT-GOBAIN et aujourd’hui on en mesure les conséquences : hausse des cotisatoins, suppression des options et remise en cause du contrat famille au travers de la « dénoémisation » (tiers payant) des conjoints qui ont une mutuelle obligatoire ailleurs. Nous avons proposé une rencontre entre les partenaires sociaux et la Direction des affaires sociales pour trouver des pistes de progrès.

Pour la prévoyance c’est encore pire ! GAN EUROCOURTAGE organise des visites de contrôle chez les invalides 2ème taux et fait des questionnaires médicaux en cas d’arrêt maladie. Il semble que la Direction des affaires sociales s’apprête à donner des consignes pour que ces agissements cessent.
Montreuil le 15/12/2012

mercredi 7 novembre 2012

SAINT-GOBAIN ET LAPEYRE POURSUIVIS PAR LEURS SALARIÉS


Nancy. C’est une affaire totalement hors normes. Par le nombre de plaignants, le préjudice financier et le « montage financier » dénoncé par les plaignants que le TGI de Nanterre pourrait bientôt avoir à juger.
Le 19 septembre dernier, 1.685 salariés des 14 entreprises du groupe Lapeyre et deux organisations syndicales – CGT et FO- ont assigné en justice les sociétés du groupe Lapeyre et la maison mère Saint-Gobain. Sur cette longue liste de noms, toujours en cours d’enregistrement au greffe du TGI de Nanterre, ceux de 104 salariés sur 248 que compte l’usine de fabrication de fenêtres Lapeyre Azur Production à Chambley.
Salariés et syndicats estiment « avoir été spoliés » de leur participation financière aux bénéfices de l’entreprise entre 2002 et 2008. D’un montant estimé à 81 millions d’euros, qui varie de quelques milliers à une quinzaine de milliers d’euros par salarié. « Des sommes conséquentes que les salariés comme nous, qui connaissons actuellement des difficultés, aimeraient bien récupérer », explique Tony Vignola, délégué FO chez Azur Production à Chambley, où les ouvriers ont subi en 2012, 36 jours de chômage partiel.
En cause, 96 % des bénéfices du groupe Lapeyre qui ont échappé à la participation des salariés pendant six ans pour avoir été « transférés aux sociétés Lapeyre SA et K par K SAS, deux holding ne comptant aucun salarié, légalement non soumises à la participation », explique Matthieu Saintoul, du syndicat FO. Lapeyre SA et K par K SAS étant toutes deux détenues à 100 % par la société portefeuille Partidis, elle-même détenue à 100 % par la Compagnie Saint-Gobain.

UN MONTAGE STRUCTUREL DE SOCIÉTÉS-ÉCRANS MIS EN CAUSE

De fait, pour 98 % des salariés du groupe, la participation a été calculée sur seulement 4 % des bénéfices. C’est en 2009, que les syndicats des différentes entreprises se sont intéressés à ce qu’ils appellent le « découpage artificiel », du groupe Lapeyre composé de 21 sociétés réparties en quatre groupes de sociétés de production, distribution, logistique et une société siège.
« Depuis 2009, une négociation a été organisée avec la direction du groupe et les salariés ont désormais droit à une participation qui a été mise en application en 2011 », assure Matthieu Saintoul.
Mais l’organisation structurelle du groupe Lapeyre, « mise en place par la société mère Saint-Gobain, maintient les usines dans une position déficitaire », selon FO. À l’instar d’Azur Production où « depuis quinze ans, à chaque fois qu’on a voulu obtenir des augmentations de salaire, on nous a avancé l’argument du déficit », déplore Tony Vignola.

1,129 MILLIARD D’EUROS DE BÉNÉFICE EN 2011

Or selon les plaignants, « les sociétés de distribution du groupe Lapeyre (Distrilap et Distri K) achetaient aux usines les produits à des prix bien inférieurs à ceux du marché ce qui empêche les usines de dégager des bénéfices. Puis les produits sont revendus aux magasins au prix du marché ce qui permet aux sociétés holding Lapeyre SA et K par K SAS de dégager des marges très importantes et de faire la culbute au détriment des salariés dans les usines ! », poursuit M. Saintoul.
Les 1.685 salariés de Lapeyre espèrent désormais une audience rapide de l’affaire par le TGI de Nanterre et veulent, selon les syndicats, « récupérer les sommes dont ils ont été privés ».
81 millions d’euros à reverser, une somme conséquente qui pourrait ébranler les sociétés du groupe Lapeyre. « Oui, c’est considérable, mais cette somme est à mettre en regard des 1,129 milliard de bénéfices enregistrés par Saint-Gobain en 2011 et des 605 millions d’euros de dividendes versés en 2010 et 2011 aux actionnaires de la Compagnie », relativise Matthieu Saintoul.
Contactées pour réagir à cette mise en cause, la société Azur production et la Compagnie Saint-Gobain n’ont, pour l’heure, pas donné suite à notre demande. Le groupe Lapeyre « ne souhaite pas commenter l’affaire dans l’attente de la décision du TGI de Nanterre » de statuer sur ce dossier.
Stéphanie SCHMITT

dimanche 4 novembre 2012

POUR INFOS de LA CGT POINT P NORD


 le droit de sanctionner un salarié qui refuse de se rendre à son entretien d’évaluation annuel ?


L'entretien annuel d'évaluation des salariés est un moment important pour le manager et ses collaborateurs. L'entretien a notamment pour but :
  • de mieux connaître ses collaborateurs, leurs points forts et leurs points à améliorer ;
  • de mieux comprendre leur mode de fonctionnement et leurs aspirations ;
  • de reconnaître et valider leurs compétences et donc de les stimuler, etc.
Afin d’évaluer les aptitudes professionnelles de ses salariés, l’employeur peut mettre en place des entretiens d’évaluation


L’employeur tient de son pouvoir de direction le droit d’évaluer le travail de ses salariés.
Mais attention, avant d’évaluer l’aptitude professionnelle de vos salariés, vous devez les informer des techniques et des méthodes que vous allez utiliser (Code du travail, art. L. 1222-3).
Les évaluations peuvent avoir une incidence sur le comportement des salariés, leur évolution de carrière et leur rémunération. Si elles sont de nature à engendrer une pression psychologique entraînant des répercussions sur les conditions de travail, le CHSCT doit être consulté avant leur mise en place.
Ensuite, le comité d'entreprise est informé et consulté, préalablement à cette mise en œuvre des dispositifs d’évaluation dans l'entreprise, puisque ces techniques permettent un contrôle de l'activité des salariés (Code du travail, art. L. 2323-32).

Oui, dans de telles conditions, le salarié qui refuse l’entretien a un comportement fautif qui peut être sanctionné. Cette sanction peut aller jusqu’au licenciement pour faute grave.
Mais attention, pour pouvoir sanctionner un salarié qui refuse de passer un entretien d’évaluation, vous devez avoir respecté la procédure de mise en place : information et consultation des représentants du personnel et information des salariés.
L’entretien d’évaluation n’ayant en rien un caractère disciplinaire, les salariés n’ont pas besoin d’être assistés d’un représentant du personnel.


dimanche 28 octobre 2012

LE DROIT DE FAIRE GRÈVE DANS LE PRIVÉ


Le droit de grève en France est : • un droit garanti par la Constitution, • un droit individuel des salariés, • Bref, c’est une liberté individuelle
A contrario de ce qui est annoncé dans nombre d’entreprises, le droit de grève n’est pas un droit réservé aux organisations syndicales.
Le droit de grève est donc un droit individuel et aucun salarié ni aucun citoyen ne peut priver un autre salarié de sa liberté de faire grève.
Qui peut faire grève ?
Tout salarié, syndiqué ou non, a le droit de faire grève dans son entreprise dés l’instant où il obéit à un mot d’ordre de grève formulé au plan national.
Exemple : Dans une entreprise ne comportant qu’un seul salarié, celui-ci a le droit de faire grève s’il répond à un mot d’ordre de grève national. Des salariés peuvent cesser le travail dans le cadre d’une grève nationale interprofessionnelle s’il s’agit de soutenir des revendications professionnelles : défense des retraites, refus des blocages des salaires ou de la réduction du temps de travail.
Le salarié doit-il se déclarer gréviste ?
Oui, c’est au salarié absent de son poste de travail de justifier cette absence, en l’occurrence par sa participation à la grève. L’employeur ne peut présumer qu’en salarié absent est gréviste. Il doit lui demander les motifs de son absence.
Un gréviste peut-il être sanctionné ?
Non, un salarié ne peut être sanctionné ou licencié en raison de l’exercice normal du droit de grève. Une telle sanction ou licenciement serait nul.

mercredi 10 octobre 2012

MUTUELLE DE GROUPE : ON PAIE LA CASSE !


 Montreuil le 8 Octobre 2012
COORDINATION CGT GROUPE SAINT-GOBAIN

MUTUELLE DE GROUPE : ON PAIE LA CASSE !

Vendredi 7 septembre s’est tenue une réunion à la Défense sur la Mutuelle complémentaire santé MALAKOFF, la délégation comprenant toutes les organisations syndicales et des représentants « divers », comme il est prévu unilatéralement par Saint-Gobain.

D’après ce cabinet avec les garanties du contrat de base, les différents facteurs de dépenses sont largement couverts.
Mais le cabinet COURCELLES encourage les salariés à ne plus prendre l’option 2, cela coûte trop cher !
On peut et on doit se poser la question : pourquoi nous a-t-on proposée cette option il y a plus de 2 ans ? Dumping SARKOZY pour gagner le marché ? 
Aujourd’hui le contrat groupe couvre 40 488 salariés : 50% sont de Saint-Gobain industrie (20 128), pour le pôle Distribution 39% de Point P (15 956) et 11% de Lapeyre (4 404).

De plus, il a été annoncé que les VERALLIA adhéreraient à ce contrat groupe avant fin 2013 ! Alors que ceux-ci ont leur propre mutuelle qu’ils gèrent pour la plupart et avec des accords locaux. Ils ne veulent pas de MALAKOFF et si le groupe veut la guerre, il va l’avoir !!

Les salariés en invalidité restent couverts tant qu’ils perçoivent une rente Malakoff.

Le coefficient familial est de 2,86 pour « Saint-Gobain industrie », 2,55 pour les Point P et 2,24 pour les « Lapeyre ».

Les postes de dépenses sont semblables d’une activité à l’autre :
11% en moyenne pour les visites médicales, de 9% à 12% pour l’hospitalisation (12% Point P), la pharmacie entre 11% et 14%(Point Pet Lapeyre), entre 10% et 12% pour les autres facteurs de dépenses.
Dans le nouveau décret, l’adhésion devient obligatoire pour les C.D.D., une portabilité égale à la durée du contrat, sans excéder 9 mois, est assurée avec le maintien de la part employeur.

Suivant le cabinet Courcelles les praticiens et les professionnels de la santé auraient tendance à surfacturer les prestations : l’effet est nul pour l’assuré, mais les caisses se vident plus vite qu’elles ne se remplissent.
Exemple : Une opération du  ménisque peut être facturée 1 700€ en province est facturée 27 000€ à PARIS
Mais sur ce sujet la responsabilité n’est-elle pas des assurés eux-mêmes et de leur mutuelle ? Car quand il y a des mutuelles d’entreprise, avec les cabinets médicaux et les centres de soins (ad-oc) on ne rencontre pas ces problématiques.
Etre mutualiste c’est être syndicaliste, c’est-à-dire être « RESPONSABLE » et ne pas permettre à certains médecins, opticiens, dentistes, etc à s’en mettre plein les « fouilles ».

L’étude du Cabinet Courcelles démontre que pour 1€ cotisé, MALAKOFF rembourse jusqu’à 1,22€ hors frais de gestion à Saint-Gobain industrie, 1,12€ à Point P, et 1,14€ chez Lapeyre, ce qui rend le contrat groupe déficitaire de 3,8 Millions d’Euros, dont 3,55 millions d’euros à fin 2011. Le Cabinet Courcelles informe qu’il faudra accepter une nouvelle augmentation.

Il est prévu d’augmenter la cotisation de base de 2,88€ et l’option de 7,33€, c’est-à-dire pour certains +12% sur la cotisation de base et 24% sur l’option !

Ce qui est inadmissible de l’avis de la CGT.

Malakoff s’est engagé à communiquer sur le sujet, les Directions feront une information dans les C.E. et C.C.E. donc aucune décision de la part de ces instances, c’est ce qu’on appelle la démocratie Saint-Gobain.

  • Lors des négociations la C.G.T avait revendiqué une cotisation unique sans forfait.
Nous devrions être tous égaux devant la maladie.
  • La CGT avait souligné le fait que le cabinet Courcelles avait fait une étude tronquée et n’avait pas pris au sérieux la santé du personnel (les documents remis dans les CCE ont été truffés d’erreurs volontairement, comme la prime de naissance/le dentaire/ l’optique etc.) et, malgré cela, la direction de Saint-Gobain n’a vu que le côté économique en négligeant les prestations qui étaient mal réparties.
Le Cabinet Courcelles a imposé le groupe Malakoff sans aucun appel d’offre, mais bien entendu avec la bénédiction de Saint-Gobain, sans que les partenaires sociaux puissent intervenir. Résultat : sa cotisation soi-disant attractive était du dumping et aujourd’hui ce sont les salariés qui en paient les conséquences.
Sans compter que nos milliers de retraités de Saint-Gobain restent sur le carreau…


La CGT de Saint-Gobain

CGT POINT P NORD : une équipe de salariés qui se bat au quotidien afin que vos droits soient respectés.


POINT P NORD

DEPUIS LES DERNIERES ELECTIONS 2010, S’EST IMPOSEE !


Depuis cette date vos élus CGT ont prouvé un engagement sans faille et une volonté déterminée sur tous les terrains et les dossiers qui vous concernent.
Bien plus qu’un LOGO syndical, c’est une équipe de salariés qui se bat au quotidien afin que vos droits soient respectés.
Prenez connaissance des PV de CE et des affichages, vous jugerez par vous-même !
Votre dernier vote a donné une forte majorité au syndicat CFTC (Confédération Française des Travailleurs Chrétiens), ce qui ne nous permet pas d’intervenir efficacement sur de nombreux points, comme vos augmentations salariales (NAO) ou les diverses organisations de votre comité, trop souvent décidées, depuis des années, par un même noyau majoritaire.
Suite à notre travail, les choses bougent, mais sans vous, de réelles avancées ne seront pas possibles ou trop lentes. Notre équipe est autonome avec des idées adaptées à notre entreprise POINT P.
Pour nous, pas de place pour la politique ou la religion, uniquement notre engagement pour les salariés, leur santé, leur travail, leur salaire et leurs droits.
Nous sommes de nouveau entrés dans une crise où vos emplois sont menacés, n’attendez pas qu’il soit trop tard pour nous rejoindre, uni pour être plus fort, car rester seul vous isole et vous affaiblit.
Un certain nombre d’entre vous ne se sent pas concerné par les syndicats, mais n’oubliez pas que les grandes décisions prises dans votre entreprise passent souvent par vos élus, raison de l’importance de vos choix et de votre implication.
Nos élus présents en CE, DP, CHSCT peuvent vous informer, vous assister et vous représenter devant la direction, n’hésitez pas, là est notre mission.
Nous pourrions tenter de vous appâter avec des distributions de cadeaux, lots ou autre breloques, pour nous la priorité, c’est votre protection et votre emploi.
La CGT est le premier Syndicat de France et le Syndicat majoritaire chez SAINT GOBAIN notre groupe, dont émanent souvent les grandes directives.
Répartis sur 9 départements, nous n’avons pas la possibilité de connaître toutes les difficultés rencontrées dans vos Agences, pour cela nous comptons sur vous.
Ce tract s’adresse à tous les salariés POINT P DOCKS de L’OISE, quel que soit leur profession, car les problèmes sont présents à tous les niveaux.
/…
Réagissez, car de nombreux salariés se plaignent, mais une majorité se plaint en silence ! Pour ceux là, la CGT ne peut rien.
Vos délégués du personnel sont là pour régler vos problèmes individuels en instance des DP, le CHSCT pour analyser les problèmes d’hygiène, de santé ou de sécurité qui vous entourent et votre CE est aussi là pour répondre à toutes les autres questions d’ordre général dans l’entreprise.

Vous pouvez adhérer à la CGT, ou simplement prendre contact avec vos élus CGT pour toutes informations ou questions les plus diverses, et même rejoindre notre équipe, que vous soyez ouvrier/employé, agent de maîtrise ou cadre !

MARC VAN DER JEUGHT : Secteur VALENCIENNES

Délégué Syndical CGT, Délégué du Personnel, Membre du Comité d’entreprise, Membre du Comité de Groupe SAINT GOBAIN
Téléphone : 06 32 54 72 47
Adresse mail : marc.cgtpointpnord@sfr.fr pour recueillir toutes vos questions (Syndicat CGT, mission DP, mission CE, mission CHSCT et condition de travail, fonctionnement du CE et ses finances)

DAVID DUTRIEU : Secteur LILLE

Délégué du Personnel, Membre du Comité d’Entreprise, Membre du CHSCT,
Téléphone : 06 71 58 52 48

SYLVAIN CAUDRON : Secteur CAMBRAI

Membre du Comité d’Entreprise, Membre du CHSCT
Téléphone : 06 14 14 34 09

JEAN MICHEL VOLKOFF : Secteur COMPIEGNE

Représentant syndical CGT au Comité d’Entreprise
Téléphone : 06 99 44 56 42

RICHARD PERNET : Secteur REIMS


Délégué du Personnel

Téléphone : 06 87 80 48 12


Egalement à votre disposition notre site CGT SAINT GOBAIN bâtiment 


LA CGT UNE EQUIPE A VOS COTES